Chaque année en Suisse, 50 millions d’animaux terrestres sont élevés et abattus dans des conditions atroces ; leurs besoins fondamentaux sont bafoués. Pourtant, l’industrie veut faire croire qu’il n’existe pas d’élevage intensif en Suisse – alors même qu’au cours de leur vie, la plupart des animaux « de rente » suisses ne verront ni l’herbe, ni la lumière du soleil.

L’élevage industriel accélère le réchauffement climatique, aggrave la faim dans le monde et la rareté de l’eau, entraîne la résistance aux antibiotiques, et viole les principes constitutionnels de protection des animaux.
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