Une inégalité pour les futures et jeunes mères parlementaires a empêché Céline Vara, arrivant au terme de sa grossesse, de participer à la session d’hiver du Conseil des États. Elle a pu compter sur ses collègues sénatrices pour défendre ses projets.

Ainsi, Adèle Thorens a défendu l’interpellation de Céline Vara concernant les néonicotinoïdes dans la culture de betterave sucrière. Maya Graf a, pour sa part, défendu un postulat de Céline Vara demandant au Conseil fédéral de prendre des mesures pour préserver la santé des enfants de l’exposition aux pesticides de synthèse, notamment par l’instauration de distance entre les zones habitables et les zones d’épandage de pesticides, distance qui n’est aujourd’hui pas prévue dans le cadre légal.