Les objets Verts du Grand Conseil de novembre 2019
POUR PLUS DE TRANSPARENCE SUR L’ÉVOLUTION DES RÉSEAUX DE TÉLÉPHONIE MOBILE
Recommandation du groupe PopVertsSol : lien
1ère signataire : Brigitte NEUHAUS
Communiqué de presse des Verts NE : lien
Brigitte NEUHAUS : « Les Verts sont très heureux que le Grand Conseil ait compris que la population a besoin de transparence. Elle doit être informée sur les projets de modification des réseaux de téléphonie mobile, aussi longtemps que les questions sur la nocivité à court ou long terme ne seront pas clarifiées et que les émissions auxquelles nous sommes exposés quotidiennement, ne seront pas mesurées. Les Verts espèrent toutefois que le Conseil d’État ne tardera pas plus que nécessaire à la mise en œuvre de cette recommandation. »
TRANSPORTS PUBLICS ZÉRO ÉMISSIONS – ne pas rater le train
Interpellation PVS : lien
1ère signataire : Christine AMMANN TSCHOPP
Réponse de Laurent Favre : Vidéo du mercredi 6 novembre 2019 à 08:30
Christine AMMANN TSCHOPP : » La réponse du Conseil d’État n’est pas tout à fait satisfaisante. Certes, dans le canton, le futur matériel roulant des transports publics participera à la réduction de l’impact sur le réchauffement climatique. Néanmoins, le Conseil d’État n’a pas exprimé clairement sa volonté de renoncer complètement aux véhicules à énergie fossile et attend les subventions fédérales pour déterminer dans quelle mesure cette transition est possible. Un engagement clair, pro-actif et inconditionnel du canton aurait été préférable. »
MUNITIONS AU PLOMB : QUELLES MESURES ENVISAGÉES ?
Question de Clarence CHOLLET : lien
Réponse de Laurent Favre : Vidéo du mercredi 6 novembre 2019 à 08:30
Clarence CHOLLET : « Suite à la question déposée au Grand Conseil concernant l’utilisation de munitions au plomb pour la chasse, le Conseil d’État a annoncé que les gardes-faunes cantonaux n’utiliseraient plus de telles munitions et que le canton se positionnerait en faveur de leur interdiction généralisée au niveau suisse. Les Verts sont très satisfaits de cette belle avancée et leurs représentants au niveau national se battront également pour une interdiction au niveau fédéral. »
VIOLENCE DOMESTIQUE
Rapport du Conseil d’État : 19.021ce + Annexe 3
Rapport d’une commission temporaire : 19.021com
Vote sur l’acceptation des postulats 19.189 et 19.190
Patrick HERRMANN : « Suite à la ratification par la Suisse de la convention d’Istanbul, une adaptation de la loi visant à prendre mieux en compte les personnes impliquées dans des actes de violence domestique était indispensable. »
RÉNOVATION DU CYCLE 3, années 9, 10, 11 de la scolarité obligatoire
Rapport du Conseil d’État : 19.018 + Annexe2
Rapport de la commission Éducation : 19.018com
Vote sur le classement des postulats 14.109 et 17.124
Vote sur l’acceptation du postulat 19.185
Jean-Jacques AUBERT : « L’objectif de la réforme du cycle 3 était de supprimer la hiérarchisation des filières et la stigmatisation qui en découlait. On peut constater que cet objectif est largement atteint. Toutefois, il n’est pas avéré que les élèves en difficulté d’une part et les élèves particulièrement à l’aise dans le système scolaire d’autre part y trouvent les uns et les autres leur compte. Des ajustements sont encore possibles et prévus, en particulier pour définir un troisième critère de décision pour les changements de niveaux, la prépondérance de l’avis parental face à celui des enseignants étant jugée inappropriée. Les Verts se félicitent du fait que le postulat 17.124 n’ait pas été classé, invitant ainsi le DEF (département de l’éducation et de la famille) à faire diligence en la matière. »
ÉPIDÉMIES / PROFESSIONS DE LA SANTÉ
Rapport du Conseil d’État : 19.016ce + Erratum1 + Erratum2
Rapport de la commission Santé : 19.016com
Brigitte NEUHAUS : « La mise à jour de la loi de santé clarifie notamment les rôles du canton et de la Confédération en cas d’épidémie ou de risques sanitaires particuliers. Deux éléments en particulier y ont été introduits dans le domaine de l’exercice professionnel et peuvent participer de manière importante à la sécurité des patients et à la qualité des prestations. Il s’agit de l’exigence, contrôlée par le canton, d’une connaissance du français suffisante pour tous les professionnels de la santé soumis à autorisation de pratique, ainsi que de l’obligation de faire reconnaître son diplôme par exemple de sages-femmes ou d’infirmières, lorsque celui-ci a été obtenu à l’étranger.«