Une liste de gauche plurielle pour un plan de relance solidaire et écologique
Plus que jamais, le canton de Neuchâtel a besoin de continuité et de forces vives pour mener une politique tournée vers l’humain. Ainsi, les trois candidat·es de la gauche plurielle, réuni·es ce lundi lors d’une conférence de presse d’entre-deux-tours au Club 44 à La Chaux-de-Fonds, ont rappelé l’importance de conserver la majorité de gauche au gouvernement cantonal.
L’évidence d’une liste commune entre le Parti socialiste et les Vert·e·s neuchâtelois·es pour ce second tour des élections au Conseil d’État du 9 mai prochain s’accorde à celle d’un gouvernement nécessairement positionné à gauche de l’échiquier politique. Femme et hommes d’expériences, doté·es de valeurs résolument tournées vers l’humain et la nature, Florence Nater, Laurent Kurth et Roby Tschopp sont les plus à même de continuer une action gouvernementale sociale et écologique. La continuité, en ces temps incertains, est un pilier essentiel sur lequel la population neuchâteloise doit pouvoir se reposer.
Dans l’immédiat, le premier projet de ce nouveau gouvernement de gauche plurielle sera de mettre en œuvre une relance solidaire et écologique. Solidaire car garantissant un revenu à l’ensemble des indépendant·es, entrepreneur/euse·s, travailleur·euse·s et aux métiers de la culture, et la création d’emplois grâce à une action forte de l’Etat. Ecologique car tourné vers l’emploi durable et des investissements massifs dans l’assainissement des bâtiments, les énergies renouvelables, la mobilité en commun, la culture ou encore l’économie de proximité.
Les défis sociaux et environnementaux des prochaines années ne manquent pas : soutien et protection des plus démuni·es et de celles et ceux durement touché·es par la crise, relance vers une économie respectueuse de l’environnement, combat pour l’égalité femmes-hommes et défense des minorités, cette liste non-exhaustive résume toutefois les dossiers d’importance que les trois candidat·es de la gauche plurielle s’engagent à défendre une fois élu·es. Les acquis sociaux, tels que le salaire minimum, des horaires décents de travail et des commerces, et les conventions collectives de travail, résultats de négociations entre le gouvernement et les partenaires sociaux, doivent à tout prix être conservés. Une majorité de gauche au Conseil d’État en est la garantie.
Enfin, les résultats du 1er tour au législatif cantonal légitiment entièrement un gouvernement composé de deux membres du Parti socialiste et d’un Vert. Cette représentation garantira, sans nul doute, un climat apaisé dans l’action gouvernementale et évitera les blocages institutionnels.
Lire le communiqué au format PDF