Il aura fallu attendre 1975 pour voir une femme accéder à la fonction de présidente du Grand Conseil et 2005 pour qu’un Vert occupe le fauteuil présidentiel en la personne de Patrick Erard. Suivant la trace de Veronika Pantillon, Clarence Chollet endosse à son tour le costume vert de première citoyenne du canton avec confiance et détermination.

Clarence est titulaire d’un Bachelor en sciences de l’environnement et a travaillé durant près de 10 ans dans des entreprises liées à l’écologie. La nature n’est pas seulement au cœur de son travail, c’est également le quotidien de la native de La Sagne, domiciliée à Chézard-Saint-Martin. En politique, elle a cumulé les casquettes : présidente des Jeunes Vert-e-s, présidente des Vert-e-s neuchâtelois-es, conseillère générale, députée au Grand Conseil mais aussi assistante parlementaire, la politique n’a plus aucun secret pour elle.

Si l’on doit retenir deux choses de cette passionnée de la chose publique ? Ses positions toujours solidement étayées et le vaste éventail de ses thèmes d’intervention feront sûrement l’unanimité au sein du parti des Vert-e-s neuchâtelois-es. Cette maman de trois jeunes enfants ne fuit pas les questions et ne rechigne pas à donner son avis, même sur les sujets clivants.

Mais ses collègues connaissent aussi sa connexion Internet instable durant les réunions, son amour pour le travail nocturne, son immense générosité pour aider chacun-e dans son travail même si le sien n’est pas terminé, son dévouement pour les causes qui lui tiennent à cœur, … Cette liste n’est évidemment pas exhaustive mais cette politicienne chevronnée trouve toujours un moment pour échanger et faire profiter de son expérience.

Les Vert-e-s neuchâtelois-es lui souhaitent évidemment une présidence remplie d’objets environnementaux qui feront avancer notre cause commune mais également de débats respectueux et de belle tenue qu’elle conduira avec sagesse et dans un esprit constructif, des échanges riches mais surtout, énormément de plaisir, de rires et de rencontres.

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