D’après l’article dans la SonntagsZeitung ainsi que la revue de presse alémanique sur la RTS, la présidente des CFF Monika Ribar et leur directeur Vincent Ducrot remettraient en cause les investissements dans l’infrastructure ferroviaire. Dans le contexte actuel, on marche sur la tête affirment les Vert·e·s neuchâtelois·es.

D’après la revue de presse alémanique de la RTS diffusée ce dimanche 18 août, la présidente des CFF Monika Ribar et leur directeur Vincent Ducrot remettraient en cause dans une interview dans la SonntagsZeitung, les investissements dans l’infrastructure ferroviaire « pour gagner quelques minutes » et mentionneraient que ce ne sont pas les attentes des utilisateurs et utilisatrices. Une prise de position qui va totalement à l’encontre de la transition écologique indispensable dans les prochaines années. Dans l’article et la revue de presse, le Canton de Neuchâtel est directement mentionné, en lien avec sa future ligne directe entre Neuchâtel et les Montagnes neuchâteloises.

Evidemment, les Vert·e·s neuchâtelois·es sont choqués de ce discours et sont convaincus que la ligne directe est indispensable à notre Canton pour diverses raisons et notamment le désenclavement des Montagnes neuchâteloises, le gain de temps qui permettra la bascule entre transport individuel motorisé (TIM) et transports publics (TP) et enfin de permettre d’éviter la saturation aux heures de pointes que nous vivons actuellement grâce à une augmentation des cadences.

En résumé, nous pensons que réduire les investissements pour les transports en commun signifie rater le virage de la transition écologique et énergétique. 

Le communiqué de presse est disponible en version PDF ici