C’est à ce niveau-là que se prennent les décisions qui vont, au quotidien, garantir ou non la qualité de vie et les conditions du vivre-ensemble : la prise en charge des enfants, des aîné·e·s, des plus démuni·e·s, l’accès à la culture ou à des offres de loisirs, sans oublier la promesse d’un environnement sûr et sain.

Nous, élu·e·s vert·e·s, avons plus que jamais des choses à dire dans ce champ de proximité, et pas seulement en ce qui concerne l’approvisionnement énergétique, la biodiversité ou l’aménagement du territoire. La base philosophique de notre programme politique s’est définitivement ancrée, depuis le sommet de la terre à Rio en 1992, sur les trois piliers du développement durable. Approche politique la plus intelligente de ces cent dernières années, l’idée qu’il doit y avoir un équilibre entre le social, l’économie et l’environnement guide chacune de nos actions. Aucune avancée économique ne peut se faire au détriment de l’environnement ou de la justice sociale.

Jamais le slogan « Penser global, agir local » n’a été aussi pertinent qu’aujourd’hui. Plus nous serons nombreux et nombreuses dans les exécutifs, plus nous pourrons agir et traduire en actes cette pensée de Nelson Mandela : « Une vision suivie d’action peut changer le monde ».

 

Aucune avancée économique ne peut se faire au détriment de l’environnement ou de la justice sociale.
Nicole Baur, Conseillère communale à Neuchâtel, dicastère de la formation, la famille, la santé et les sports